Sommaire
Il y a un métier à cheval entre la comptabilité et le droit qui est très utile aux entreprises. Ce métier dont que ne connaît pas souvent est celui de fiscaliste. Les fiscalistes assistent les entreprises et les particuliers dans leurs relations avec l’administration fiscale. Le rôle consiste à utiliser les moyens juridiques pour faire de l’optimisation fiscale à leurs clients. Pour devenir fiscaliste, il faut avoir suivi un cursus académique donné et développer certaines aptitudes.
Quels sont les rôles d’un fiscaliste ?
Tout d’abord même avant de créer votre entreprise il est important de se faire assister par un fiscaliste. Il sera en mesure de vous aider à choisir la forme d’entreprise qui vous coûtera moins de charges fiscales. Le régime fiscal auquel votre entreprise sera soumise dépendra de quelle forme d’entreprise vous avez choisi de créer. Un fiscaliste suit les évolutions de la législation fiscale et à même de vous donner toutes les informations actualisées concernant les impôts. En cas de contrôle fiscal, le fiscaliste apporte son assistance à son client et défend les documents comptables et déclarations fournies au fisc. Il fait tout pour éviter à l’entreprise qu’il défend des redressements fiscaux après un contrôle fiscal.
Comment devient-on fiscaliste ?
Avant d’être en mesure de donner des conseils fiscaux, il faut avoir eu au moins un maser en droit dans la spécialité droite des affaires. Il n’est pas obligatoire d’avoir d’abord un diplôme d’avocat avant d’être fiscaliste. Cependant, avoir un diplôme d’avocat donne plus de poids à votre dossier de recrutement en tant que conseil fiscal. Le diplôme de master peut être obtenu soit dans une école supérieure, soit en faculté de droit.
Quelles sont les qualités que doit avoir un bon fiscaliste ?
Un fiscaliste doit avoir une double compétence. Une première sur le plan juridique et l’autre sur le plan des techniques fiscales. Il est indispensable pour un bon fiscaliste de maîtriser les procédures juridiques. À cet effet, il doit avoir à titre d’exemple une solide maîtrise des règles de droit qui régissent le contentieux fiscal ou encore les normes juridiques lors du déroulement d’un contrôle fiscal.
La maîtrise de la langue de Shakespeare est indispensable lorsque le fiscaliste ambitionne gérer des affaires qui mettent en jeu des multinationales.